16 décembre 2012
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17 juin 2009
LECTURE AU PETIT GYMNASE
20 novembre 2008
L'Avis de Goeffrey Lopez
« Mais t’aurais pas dû me la raconter cette histoire »
Il était une fois, le Comte Pierre, illustre écrivain, il vivait dans un grand manoir de famille, devant le fauteuil à ses pieds, siégeait le bon chien Jim, qui s’ennuyait depuis son retour d’Amazonie où il était parti avec son maître. La gouvernante est un peu colérique, certes, mais Pierre à une vie loin de tout soucis, une vie de rêve… Mais la vie du Comte Pierre, cette vie édénique, n’a lieu qu’entre les frontières de son imagination.
Pierre vit dans un appartement délabré, chaque jour entre les murs d’une cuisine minuscule et les coussins d’un canapé, il écrit petit à petit l’histoire de cette autre vie dans une multitude de petits cahiers d’écolier. Mais il ne se doutait pas qu’une princesse un jour frapperait à sa porte et se jetterait dans ses bras à lui, au Crapaud.
Lauréat du Grand Prix du Théâtre, cette pièce écrite par Chantal Alves Malignon a du génie. Pourquoi ? Car comme disait Aristote « Il n’est point de génie sans un grain de folie », et c’est de ce grain qu’est fait la pièce. Le spectateur est un peu malmené devant le simple duo que forme Pierre et Béatrice, la Princesse, car entre humour, folie douce et cruauté, on ne sait parfois plus sur quel pied danser. C’est une pièce vraie, l’on se reconnaît dans les traits de Béatrice ou de Pierre, ils sont des personnes au prime abord, comme tout le monde, l’on se rend compte bien vite cependant, qu’ils ne sont pas fait exactement du même bois que nous.
Entre monde merveilleux de l’enfance : plein de rêves, de cahiers et de contes ; et monde des adultes : sexe, jalousie et brutalité ; on ne sait pas bien l’où on va, mais on y est « traîné ».
Les acteurs sont efficaces, ils nous plongent sans hésiter dans la mare du Crapaud, et nous de rire, de sourire, mais aussi de nous inquiéter.
En bref, c’est une pièce à voir et une auteur à suivre.
N’hésitez pas et d’un bon sautez dans la mare.
15 octobre 2008
RIDEAU !
La pièce était peut-être bonne, ils l'ont transcendée.
C'est un très beau spectacle.
Merci à Thierry Lavat, à Clémence Boué, à Gilles Kneusé, à Emmanuel Charles.
Quel talent !
Merci à Marc Lavine, une espèce en voie de disparition.
Merci au Théâtre Montansier et aux Bouffes Parisiens.
Aux petites fées de Com L'm, au sage de l'Amandier.
A ceux que j'oublie, à ceux qui ont applaudi.
Merci à ceux qui prendront le risque d'accueillir un spectacle contemporain sans vedettes.
A ceux qui viendront le voir et qui ne seront pas déçus, je vous le garantis.
Et un immense bravo à tous ceux qui font vivre ce concours.
Je souhaite aux prochains lauréats le même ravissement ébranlé.
Je les envie déjà.
9 octobre 2008
COMPLET
Le crapaud aux Bouffes Parisiens affiche complet.
Désolée pour les retardataires qui pourront toujours lire le texte édité, je le rappelle, aux Editions de l'Amandier.
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16 septembre 2008
Coâââ de nouveau
Voilà, Le Crapaud atterrit aux Bouffes Parisiens pour une représentation exceptionnelle, au demeurant ultra-chic, le lundi 13 octobre.
Si l'envie d'en être, du côté spectateurs s'entend, soudainement vous prend, n'hésitez pas trop longtemps, armez-vous d'enthousiasme et faites-moi signe, on arrivera bien à vous dégoter une petite place.
16 juin 2008
Coâââ !
5 juin 2008
EXTRAIT 1
5 juin 2008
EXTRAIT 2
5 juin 2008
EXTRAIT 3
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